20110712

Tolosa, l’UMP et le bien public

Le PSf et l’UMP ont des militants qui sont très alertes, et en alerte, surtout pour maquiller le bien public des municipalités qui ne sont pas de leurs couleurs, de leur majorité élective…

Ainsi, à Saint Aubin, Tolosa, on pouvait en voir la preuve pour l’UMP :

panèu municipal

Il faudra rappeler aux militants que le parti est fait pour développer des projets collectifs, peut-être inventifs, de les proposer aux citoyens, et c’est aux citoyens de choisir si tel ou tel autre candidat est susceptible de gérer le bien commun, les biens des communes et leurs administrations, des cantons et départements avec son administration décentralisée, des régions et son administration décentralisée, de l’État et son administration jacobine, plus les éléments régaliens liés à la politique extérieure. Les candidats deviennent alors les gérants du bien commun, le bien public n’est pas la propriété des élus (ni pour en profiter, ni pour les personnaliser), et de ce fait les prendre pour ennemi, c’est afficher l’inimitié non pas aux candidats qui furent choisis, mais au bien public, del pòble de Tolosa, au bien de tous les citoyens.

Alors on se pourrait demander d’ou vient ce genre d’attitudes ? Serait-ce un type de formation interne aux partis ? Serait-ce un problème dans le choix des élus gagnants ? Serait-ce un problème de civilité et de formation dans l’école républicaine ?

Deux éléments pour votre réflexion citoyenne :

Guérini

Voilà pour l’équilibre (il parait qu’il est socialiste celui-là), quand les exemples viennent d’en haut, on ne peut rien obtenir des militants d’en bas… des afficheurs.

Image (2)

Élus les candidats ne doivent pas considérer le bien public comme une assistance publique à le CV, et leur porte-feuille… Et les militants dont le candidat est battu, devraient prendre conscience que l’électeur a raison, malgré toutes ses raisons politiques pour voter pour l’autre candidat. Il serait alors justifié de critiquer les mauvaises gestions du bien public et de ne pas le détériorer.

Une affiche oui, mais pour expliquer pourquoi l’investissement ne vous semble pas correct pour le développement du bien public.