20110815

Pour les Français, un livre en anglais…

De plus en plus de Français, intellectuels français, lisent la langue de la finance, car c’est la langue du pouvoir (ils ont toujours était proche du pouvoir et on toujours fantasmé sur les bonté du pouvoir central), et les Français sont bonapartistes et fascinés par le chef, et sa langue ; c’est une longue tradition, un patrimoine ?

Je n’écris “Français” que pour indiquer ceux qui ne sont pas de souche, mais ceux qui croient encore au mythe de la nation telle qu’Ernest Renan ou Maurice Barrès l’avait mise en oeuvre et intégré dans un nouveau système religieux et ethnique. La souche de ces derniers est un neurone qui travaille, bâti sur l’ignorance des conquêtes étatiques, royale, bonapartiste ou républicaine et colonialiste ; l’histoire des vaincu n’est pas l’Histoire de France, l’idéologie de la république se développe ainsi dans toutes ses écoles, sans exception (voilà ou l’on peut parler de doser d’intoxication à la norme républicaine française – c’est pour cela que la lecture d’oeuvre en langue de finance peut être aussi utile).

Politics and Ethnicity

Un chapitre est sûrement utile à nos Français de souche républicaine, de souche purement intellectuelle et conceptuelle, post-révolutionnaire, ceux qui firent que la dite Révolution française fut sanguinaire.

ethnics in France

La politica etnica es benlèu la politica comunautarista del govèrn actual, o una politica que valoriza las resorgas etnicas de fRANÇA. Zo podrèm saber qu’en crompar lo libre.

La République française est supposée être non-ethnique ; à la lecture de sa constitution, la dernière votée, et par plusieurs faits historiques de débats sur les langues dites régionales (ex : 1992 en juin avec une assemblée de socialistes, et dernièrement avec une assemblée d’UMP-NC), on confirme que l’ethnie en place est celle qui parle seulement la langue du pouvoir (écoutez Jacques Myard et vous aurez le tableau), la langue du roi, puis du général, maréchal, puis de la république gratuite et laïque. Cette république demande une grande dose de croyances et de foi(s). Et cette même ethnie se protège des ethnies, donc il ne faut pas lister les ethnies, pas lister les langues parlées, pas de statistiques (midadius!), pas de recherche (macarel!), car c’est déjà nommer quelque-chose que l’on ne veut pas voir. Car dès que l’on recherche à classer, on tombe devant le problème de la désignation, et puisqu’il y aurait problème, il ne faut pas en parler. L’exception française est l’ignorance.

L’intérêt de ce livre est justement qu’il effectue des parallèles que les dits intellectuels français ne veulent faire.

Ce n’est cependant pas un livre qui portera une pensée bien claire sur le sujet… le chapitre suivant indique bien sont problème. Faut-il faire confiance aux peuples pour déterminer ses besoins propres ? Il semble en douter. C’est donc bien un livre anti-démocratique.

Ce n’est pas un livre qu’il faut acheter, c’est un livre qui demande une réponse. C’est un livre qui doit trouver que l’ethnie hébraïque avait besoin d’un État, mais pas les Bretons … Les Français du Québec, mais pas les Savoisiens, etc. L’État est-il cependant utile dans l’Europe actuelle, le livre ne répond pas à la question. Il n’est seulement qu’il livre pour faire peur, ces méchantes ethnies, celles qui se défendent bien sûr. Celle qui dominent trouveront toute la raison dans ce livre, c’est pour cela que les Français se doivent de le lire ; il semble que déjà une copie de ce livre circule en fRANCE, et pas sous le manteau, c’est la théorie officielle de tous les “intellectuels” de bonne souche.

Imposar lo francés bismine de la chance française