20111031

Tunísia 2011, 2012 ?

Halloween 2011

Halloween o Castanha ?

ÒC ambe csatanhas

20111028

China !

Gifi

Gifi Centers e las zònas industrialas e/o comercialas a l’entrada de las ciutats d’Occitània…

Importacion de China e novèl investiment de l’Union Europèa, investiment per la logistica de las importacions.

20111027

Castanhada

Castanyada

La tradicion catalana dona “castanyades i penellets” pel mes de novembre.

5 de novembre a L’Ostal d’Occitània per saber qu’es aquò los “penellets”, 15h00.

Per las Castanhas, vendràn de Perigòrd, un país de la patz legendària, coooolllll.

Tunisie : elles cachent leurs cheveux … c’est la religion qu’il ne faut pas critiquer.

amaga la cara

Sobretot “sábes que cal pas criticar ma religion” (es un integrisme dementre los autres). Aquel tipe de manièra de veire la religion coma un embarrament sobre las possibilitats (grandas) de la pensada umana, es un anti-umanisme contra l’espècia umana.

Tunisie : nécessités électorales et télégéniques

islamisme modéré du futur

Après avoir guidé le bon peuple, ENNAHDA guide le prochain programme électoral, il est déjà écrit. Les Contes des Mille et une nuits électorales le contaient déjà, pour les bons observateurs.

Demain, on rase gratís; pardon, elle enlève le haut.

Mais pour le moment, c’est le temps des places dans la Constituante et au gouvernement, si possible les moins risquées.

Parce que la démocratie n’est pas seulement un moment de campagne électorale, ni même un jour de vote, la “démocratie” est aussi grandement mangée par  la partidocratie, les joies de la partidocratie… avec en Tunisie comme en fRANCE, les programmes TV spéciaux des gouvernants.

En Tunisie les programmes gouvernementaux sont sur la première publique et la grosse privé, à 19h00 ; en fRANCE, à 20h15, c’est l’inverse, le programme gouvernemental est de production privée, et passe sur la grosse TV privée et la petite publique. Dans les deux cas, personne ne refuse de diffuser.

Comté de Nice – Comtea de Niça

Comtea de Niça

20111025

Emplega la lenga, …

emplega ta lenga

Emplega la lenga, l’occitan (totas las colors, totas las sonoritats, totas las musicas), lo dialecte gascon, bearnés o provençal, auvernhat, lemosin, lengadocian, gavòt, niçart, aranés, val occitana dal Piemont, de totes los parlars del vilatge o de la vila, los parlars de las administracions (decentralizadoiras o bonapartistas).

Cal fòrabandir digun, mas cal pensar a la dignitat de l’occitan e al seu avenidor.

Una filosofia de vida

consomerisme

« Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson sur ses capacités à grimper à un arbre, il passera sa vie à croire qu’il est stupide. » [Albèrt Einstein]

«Tots siam gènius. Mas se jutjam un peis sobre las seunas capacitats de pujar a l’arbre, passarà la seuna vida a creire qu’es estupid.» [Albert Einstein]

20111024

Istòria gascona a Pau

Colloque International Histoire Pau

Collòqui a Pau : Las Bastidas urbanas de la Novempopulaniá a la fin de l’Antiquitat entre Aquitània(s) e Ispània(s).

Auvergne

Auvernhe

20111022

reservatz ara per LOS PAGALHÓS en concèrt

pub Monte Charge

Il faut réserver maintenant, il n’y aura pas de place pour tous et toutes.

Lo plaser es totun melhor en saber la lenga ! Demandatz lo traductor oficial …

Pagalhós en concèrt

Per la traduccion en lenga occitana, cal demandar la “politica lingüistica”, Los Pagalhós l’an pas esperada.

Manifestacion contra lo gas de sistre – Manifestation contre le gaz de schiste

Manifestacion contra lo gas de sistre Gard-Ardècha

www.stopaugazdeschiste07.org

20111021

Pays-Basque : la paix arrive, tout change alors

Euskadi octobre 2011

La patz

Soustons : Festival Gascon

Aficha Soston

ETA s’en va per la patz, Espanya se cerca encara… «la fin de la terreur».

Espanya sense ETA - e ara que ETA a daissat las armas, de qué cresètz que faràn de nosautres ?

- Malastruc. Perqué non te calas ? Aquò’s non a de saber quitament Dieu…

-°-

- et maintenant qu’ETA a laissé les armes, que vont-ils faire de nous ?

- Maudit sois-tu ! Pourquoi ne la fermes-tu pas ? Ceci, même Dieu, personne, ne doit savoir…

ALL BLEUS

all bleus

20111020

Humour populaire français : il faut s’adapter

Voici deux dessins humoristiques adaptés spécialement pour ce blog, ils ont une base française, pardonnez moi par avance, il furent français à l’origine !

Humour à 3€ et c’est déjà beaucoup !

fRANÇA

Et comme je sais qu’au casino on ne peut gagner tout le temps, c’est comme les élections françaises … Et que «y a que le cul qui marche” !

França al cuol

J’aurai participé à la montée du national-expansionnisme français ! On ne pourra pas me le reprocher.

Dupont parla lo patois d'oui 

Superdupont sera toujours votre aide idéologique française et républicaine !

 

[LE SAVIEZ VOUS ??] =
"Le testicules de dauphin sont utilisées pour faire des boules de flipper..."

vigilança republicana

20111019

Conférence sur la langue basque en Bretagne

conferéncia sobre Euskadi en Bretanha conferéncia sobre Euskadi en Bretanha bzh

Un modèl de presentacion per las manifestacions occitanas.

A right way to bring the whole occitan meetings.

Ridicula comission europèa

auteritat

Barroso aurà enpaurit Portugal e ara s’ataca a l’Union Europèa.

20111018

Collectif ‘Prouvenço’ aime la langue …

Il lui ont trouvé un bois d’origine provençale pour son avenir, pour le musée d’Arles, cette Provence qui ne phantasme seulement qu’à l’Est du Rhône, dans l’ancien Saint-Empire germanique … :

colectiéu prouvençau 1

C’est grâce à l’UMP-NC, le dernier courrier l’explique clairement. Quand on ne veut rien faire pour sauver une langue, un courrier de ce type aide. Merci le Colectiéu Prouvenço.

20111016

Corou de Berra manda una informacion, uèi

Michel Bianco Jazz made in Niça

Francis Cabrel èra puslèu silenciós dempuèi tres o quatre annadas…

Francis Cabrel est plutôt silencieux ces temps-ci…

humour pour dimanche

fRANÇA immigracion illegala nicoca nicolawork flamas occitanas

20111014

Catalogne, Corse, Cymru, Écosse, Euskadi, Flandres, …

Si vous regardez dans d'autres états en Europe, que ça soit en Ecosse, en Catalogne ou en Flandres, elle a le vent en poupe. Et Bildu a le vent en poupe. Il n'y a pas de politique qui s'échappe de la réalité. Aujourd'hui on est dans la question de ...

JdPB
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"L’idée d’indépendance n’a jamais été aussi moderne"

14/10/2011 - Goizeder TABERNA - www.lejpb.com

Entretien avec Jean-Pierre MASSIAS / Professeur de Droit


Le processus de résolution du conflit basque semble avoir pris un tournant ces dernières semaines. Professeur de Droit à l’université de Clermont-Ferrand et à l’UFR de Bayonne, spécialiste des processus d’autodétermination des pays d’Europe centrale, Jean-Pierre Massias publiera dans les semaines à venir un livre, Faire la paix au Pays Basque. Dans ces colonnes, il présente sont analyse sur le processus, à la veille de la Conférence internationale prévu lundi à Donostia.


Quelle est la portée de la conférence internationale pour la Résolution du Conflit au Pays Basque organisée lundi prochain à Donostia ?
C’est difficile à apprécier. C’est un élément supplémentaire dans la construction du caractère inéluctable du processus. Un processus qui s’appuie sur une base très importante. Mon analyse ne consiste pas à isoler tel ou tel événement, même si une conférence internationale, c’est très important et très symbolique. Mais il est important de noter qu’on a un certain nombre de signaux convergeants qui montrent que le processus est en train d’évoluer, très clairement, vers un enracinement social de la fin de la violence. En tout cas, l’enracinement social de la nouvelle stratégie, de l’Accord de Gernika.
Il s’agit d’un schéma inversé par rapport au schéma du processus précédent. En 2006, ETA annonce la trêve ; elle vient du haut. Dans le cas présent, il y a une construction sociale… les presos, Ekin, l’Accord de Gernika, Zutik Euskal Herria. On a l’impression que l’ETA accompagne, sans être particulièrement moteur.
La conférence de lundi est très importante parce qu’elle fait intervenir des acteurs qui ne sont pas basques et évidemment la reconnaissance internationale du processus est un facteur très important. Après, elle a des limites : ni la France ni l’Espagne ni le gouvernement basque n’y seront représentés. Et dans ce genre de processus, c’est toujours celui qui rengaine le premier qui gagne.

Gagner ou perdre cette bataille, est-ce là la question ?
Il faut savoir ce qu’on met derrière la question du processus de résolution du conflit. Si c’est la fin de la violence, c’est évidemment très important, mais cela ne va pas régler la question basque. La violence est devenue très importante, mais elle n’est à l’origine qu’un instrument en soutien d’une revendication qui n’a pas disparu. Cette revendication va s’exprimer de manière différente. Parfois je me demande s’il ne faut pas parler processus de transformation du conflit.
Il y a un élément qui est extrêmement capital, ce sont les élections municipales (de mai 2011). Le succès de Bildu me paraît le témoignage d’une accélération sociale. Aujourd’hui, on a une situation assez paradoxale : la lutte armée n’a pas que des soutiens y compris dans le gauche abertzale, ce qui me paraît être un euphémisme, et les revendications souverainistes autour de la gauche abertzale n’ont jamais eu autant de soutien populaire.
La lutte armée fait partie d’une logique ancienne, mais la revendication d’indépendance n’a jamais été aussi moderne. Si vous regardez dans d’autres états en Europe, que ça soit en Ecosse, en Catalogne ou en Flandres, elle a le vent en poupe. Et Bildu a le vent en poupe. Il n’y a pas de politique qui s’échappe de la réalité. Aujourd’hui on est dans la question de l’avenir du territoire basque. Il me semble que les dirigeants de la gauche abertzale ont bien pris le tournant. Ceux qui me paraissent ne pas avoir compris cela, c’est les Espagnols.

Pensez-vous que des personnalités internationales de haut rang se déplaceraient sans que le processus n’ait dépassé son caractère unilatéral ?
Je pense que le fait que le Lehendakari socialiste qui s’appuie sur une majorité soutenue par le PP vienne parler du rapprochement des preso est un signe. De même que la série d’articles parue dans El Pais sur les rencontres entre les preso et les familles de victimes. Si on regarde il y a deux ou trois ans, ces articles-là seraient invraisemblables. Même si la politique ne se fait avec les sentiments, là on touche les sentiments.
On voit que dans le conflit basque la difficulté est l’extraordinaire intensité des tensions humaines. C’est un conflit du point de vue militaire de faible intensité, mais de forte intensité quant à l’enfermement psychologique des uns et des autres.
J’espère que l’implication de ces acteurs internationaux de haut niveau est le signe que les choses se détendent du côté socialiste. Je me demande même si du côté du parti populaire il n’y a pas une once d’espoir. Toute la classe politique espagnole a intérêt à mettre fin à ce conflit.
Précisément, pour revenir à la deuxième question, Jonathan Powell (organisateur de la conférence) disait que tous les acteurs assis autour d’une table de négociation devaient la quitter en ayant l’impression d’avoir gagné…
Les Espagnols ont un intérêt politique à court terme, c’est de se débarrasser du souvenir du franquisme. La lutte armée et la répression sont nées sous le franquisme. L’Espagne a intérêt à ce qu’il n’y ait plus de problème avec les preso, avec la torture, de problème de répression, plus de garde du corps…
Maintenant, la violence peut disparaître, mais la question de l’indépendance risque de se poser encore plus. Toutes les négociations de Loiola peuvent servir de base. Mais pour cela, l’Espagne devrait réfléchir au moins à libérer Arnaldo Otegi. Dans toute cette construction positive, l’élément contradictoire est la condamnation d’Arnaldo Otegi et de Rafa Diez. Avec Otegi les Espagnols ont un interlocuteur capable de discuter.
Le quid est celle des élections législatives. Est-ce qu’on peut interdire Amaiur ? Je crois que là, on est au stade suprême des contradictions de la politique anti-terroriste espagnole. [Cette dernière] commence à subir des contradictions qui tirent la sonnette d’alarme.
Si à l’issue des élections le Parti Populaire veut interdire Bildu, politiquement, c’est une énorme erreur. Le contexte de la loi des Partis, c’est la mort de Miguel Angel Blanco, l’échec de Lizarra-Garazi, on est dans une période, en 2002, de violence. Aujourd’hui c’est plus compliqué. A force de faire un pays réel et un pays légal, on prend des risques.

On dit que les périodes électorales sont défavorables au processus. Cette fois, la période pré-électorale n’y a-t-elle pas été au contraire favorable ?
La concomitance de deux élections l’a été. Au-delà des discours officiels, personne ne peut faire semblant de ne pas mesurer l’impact de la victoire de Bildu. Personne ne pensait que la gauche abertzale pouvait être capable de mobiliser 25 % du corps électoral et plus de 30 en Gipuzkoa. En même temps le processus s’accélère. Non seulement la paix s’accélère, mais la répression se maintient. Oui, le climat est favorable à ça.

Lasserre e la patzCe processus pourrait-il aboutir à un échec ?
Je peux paraître complètement optimiste, mais je ne vois pas comment ça pourrait être un échec. Le seul échec serait une bombe.

Cela paraît peu envisageable… Pourrait-il y avoir un échec politique ?
A partir du moment où vous passez à un processus non violent qui repose sur une certaine réalité électorale… tant que Bildu aura des scores importants… comment voulez-vous ? Avec la transformation du conflit, les Espagnols ne contrôlent plus rien.
Qu’est-ce qui va se passer si l’Ecosse devient indépendante ? Le premier état à la reconnaître sera la Grande Bretagne. Pas par amour, mais par pragmatisme.

Insinuez-vous que le processus basque pourrait mener à l’indépendance ?
Attendez… La prochaine étape sera la relation entre Bildu et le PNV. De ce point de vue-là, les Espagnols avaient donné une leçon avec l’union entre le PSE et le PP. Il faudra bien, un jour, que les Basques présentent, sinon un front commun, en tout cas une possibilité de travailler ensemble. Même si on interdit Bildu… On a bien vu que les interdictions se retournaient contre eux : Batasuna est apparue plus forte après l’interdiction. En plus, on ne mesure pas l’impact de la trêve. La fin de la violence peut avoir un impact très positif sur la répartition des votes.

Avec des centaines de prisonniers, sa stratégie répressive, il est évident que l’Etat français a un rôle à jouer dans le domaine technique du processus. Et dans le domaine politique ?
Son rôle restera, pour l’instant, assez limité. Je pense que l’Etat français observe et s’aligne sur l’Espagne. Il ne s’est jamais mêlé officiellement à l’aspect politique du conflit ; il s’en est mêlé effectivement du point de vue technique. Si la paix se fait du côté sud et qu’il y a des mouvements de rapprochement de preso, je ne vois pas la France s’y opposer. Après, la question de l’implication politique de la France est complexe. ça supposerait qu’on intègre dans la réflexion politique les territoires du nord qui sont dans une situation politique assez complexe. ça va cependant dépendre de 2012, du rapport de force ici et de l’Espagne.
On pourrait aussi poser la question de la participation du mouvement abertzale du nord à ce processus. Je ne veux pas dire qu’il doit rentrer dans le processus. Je veux dire : quelles conséquences tirent-ils de ce processus concernant son organisation, sa stratégie et son fonctionnement. Ce processus renvoie tout le monde devant ses responsabilités. On a affaire à un processus de transformation. La transformation ne s’arrête pas au Sud et ne s’arrête pas à l’Espagne. S’il y a une demande sociale clairement exprimée d’un statut spécifique… il y aurait une possibilité. Mais il y a un certain nombre de choses à régler avant. C’est une question de capacité du mouvement abertzale à soutenir une demande sociale clairement exprimée.

JdPB

Patz en Euskadi Catherine Grèze

20111013

Nos encêtres les Gaulois fabriquent encore du politique, le mythe national-expansionniste.

Fotre FRANÇA 2F critica del gallicisme politic

Après la lecture de la presse dite du Midi Libre

Lo plan d'un occitan

Trobarèm tròp d’esperanças dins lo Dieu republican en Occitània per salvar la nacion nòstra.

Fotre FRANÇA 2F

De la realité politique française, ne plus se taire !

Bilhet creat a la basa d’un comunicat d’EELV.

Logo EELV

Communiqué de presse du 13 octobre 2011


Commémoration du 50ème anniversaire du 17 octobre 1961


Le 17 octobre 1961, à l’appel du FLN algérien, des milliers de travailleurs immigrés, accompagnés de leurs familles, ont quitté leurs banlieues pour manifester pacifiquement contre le couvre-feu que venait de leur imposer le Préfet de police Maurice Papon. [NDLR : Èra a parís, los immigrats auvernhats o lemosins son estats transformats pels immigrats d’Argèria, amazigh en majoritat]

Cette marche pacifique s’est transformée en un terrible et sanglant cauchemar pour des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants, lorsque les forces de l’ordre, obéissant à une hiérarchie obnubilée par le conflit algérien, ont abandonné les valeurs qui fondent l’ordre républicain pour sombrer dans la répression la plus sauvage.

Des centaines d’Algériens furent jetés à la Seine, certains les membres attachés, pour y périr noyés. Si les historiens varient sur le nombre de morts, les spécialistes parlent a minima, de plus d'une centaine, des milliers de manifestants furent blessés et internés. [NDLR : vist dempuèi l’elita parisenca la província e sos pòble an pas gaire de valor umana, es la seuna istòria ontologica]

Ce massacre enfoui au plus profond de la mémoire collective, effacé des livres d'histoire, ignoré des plus jeunes, constitue l'un des plus importants crimes d'État commis dans la France moderne. Il demeure à ce jour totalement impuni.

La République française s'honorerait à reconnaître officiellement l'existence de ce crime qui entache son honneur, afin qu'en cette commémoration du 50e anniversaire, justice soit enfin rendue à ces citoyens algériens morts d' avoir voulu manifester pacifiquement pour le droit à l'indépendance de la nation algérienne. [NDLR : La republica francesa nos pòrta coma simbòl la bandièra e un imne, de vomitar, una escòla dins la lenga de las elitas reialas, un sistèma financièr mondializat, sense ligason ambe la realitat occitana ; aital ambe l’eveniment aquel, mas podèm listar d’autres.]

Europe Ecologie Les Verts s'associe aux nombreuses associations qui militent pour la reconnaissance officielle par l'État français d'un crime d'État commis le 17 octobre 1961. Au-delà de cette reconnaissance, la plus grande transparence doit être faite sur ces événements, notamment en permettant aux historiens un libre accès aux Archives de la Préfecture de Police. Enfin, la Fondation pour la mémoire de la guerre d’Algérie, mise en place par la loi du 23 février 2005 qui promouvait le « rôle positif de la colonisation», doit être dissoute. [NDLR : perqué l’Estat es tanben nosautres, o al mens los qu’an participat a las eleccions per causir lo sistèma politic de l’epòca, 1961 ; nos podèm questionar sul collaboracionisme occitan ; e alara nos cal pausar la question dins lo futur, nos fau desligar de las estupiditats francesas, faire una vida politica autonòma en Occitània, per retrobar la dignitat politica nacionala occitana.]

EELV appelle à participer à la manifestation du 17 octobre et sera notamment représenté par Eva Joly, candidate EELV à la présidentielle, Cécile Duflot, secrétaire nationale, Pascal Durand, porte-parole,  à 18 heures devant le cinéma le Rex (1 Boulevard Poissonnière, Paris 2e arrondissement).

Europe Ecologie Les Verts

Lo guit encanta la vida en Occitània

Dessenh : DSK cámbia de cadena de television pendent la campanha d'eleccion del candidat socialista per 2012, a l'imatge Montebour, lo candidat de la demondializacion, per los que crèson que la mondializacion es causa novèla al XXIen sègle. Es un pauc coma la Bernadeta qu'a vist passar Maria, "era emmaculada concepcion" a Lorda.
Tèxte : Cracòvia aurà vist l'eleccion d'un Papa ambe ròba, e de la primièra trans-sexuala.

Image (6)

Se i a de l’espèr en Polònia, n’i auriá pas en Occitània ?

Les turpitudes expansionnistes et sanguinaires de l’État français

memòria antirepublicana francesa

Il ne faudrait pas oublier qu’avant d’aller outre-mer, les mouvements politiques et militaristes français furent sanguinaires aussi sur le continent européen, et à l’intérieur de ses propres frontières ; pour limiter ses méfaits il n’y a pas un bout du continent qui ne fut touché par les méfaits de l’État français, qu’il soit royal ou républicain.

Et plus particulièrement, je voudrais lister les massacres cathares, les massacres des populations d’Aquitaine entre 1453 et 1470, les massacres catholiques pendant les guerres de religions, les répressions des révoltes paysannes par les troupes royalistes, et toutes les autres répressions militaires françaises au fils des années, les recrutements plus nombreux d’Occitans pour aller sur les fronts de l’Est en 1914/18, etc. J’en oubli sûrement.

Il faut noter aussi que les Occitans ne furent pas ingrat, ils fournirent la soumission politique du Béarn et du Comté Venaissin, et plusieurs militaires hauts gradés à Napoléon, de bons petits soldats de leur colonialisme. Les Français furent aussi, grâce aux armes, et à plusieurs manipulations politiques, des exterminations de l’indépendance de Nice (1860).

Occitània a toujours été un grand terrain d’entrainement pour le national-expansionnisme français.

L’État continental européen si “joliment” hexagonal a été d’un niveau de cruauté aussi dans d’autres territoires, la liste sera simple : en Catalogne (traité des Pyrénées), Euskadi, Bretagne, Vendée, Corse, Savoie (1860), Lotharingie (1918).

On peut aussi compter les migrations forcées vers la sainte capitale comme un élément pour détruire les nations soumisses par les armes ou par les manipulations, et les économies des provinces.

Il n’y a aucune différence entre le Royal et le Républicain (malgré tous les affichages, et les livres de manipulations historiques).

C’est sûrement le seul État européen a avoir une liste si importante de méfaits récurrents sur le continent européen. De plus, pour mériter le titre de “fille ainée” de l’Église catholique, ces méfaits furent couverts par la hiérarchie catholiques et le pouvoir du Vatican. Il faut dire qu’avec Napoléon, le traitre corse et voisin, ce pouvoir vaticanesque avait aussi à craindre.

Image (5)

Et au niveau international, L’État français est pire, et depuis des siècles, que le pouvoir des Bush aux États-Unis d’Amérique du Nord.

L’État français est un État voyou, depuis des siècles.

Bush RT

20111012

Ou va notre argent, nos impôts ?

Un exemple, la politique de sécurité de l’UMP à la tête du pouvoir centraliste.

Politica de securitat segon l'ump

On voit moins l’urgence pour le financement étatiques des politiques linguistiques, pour les universités polyglottes, pour la signalétiques multilingues (avec les langues dites régionales), pour les échanges multilinguistiques, etc.

Eva Joly : candidate des régions !

Eva Joly 1Eva Joly 2Eva Joly en Occitània Nice Matin

Précision : le seul régionalisme c’est la décentralisation. La décentralisation n’est qu’une délégation de pouvoir ; cette délégation peut être aléatoire, selon les bons vouloirs du centre, ceux des Jacobins ou de ceux qui pensent encore que Paris vaut bien une messe ; c’est une longue histoire qu’il nous faut méditer. Ce n’est pas la solution pour Occitània. l’Occitània de la décentralisation est une amélioration par délégation ou impossibilité de l’État de gérer et d’en avoir fait la preuve d’incapacité politique et sociale ; c’est simplement encore une província.

Région = espace de pouvoir, ça ne vaut guère mieux que provincia.

Occitània : on ne peut pas vivre normalement en temps anormaux ; les temps anormaux occitans ont débuté avec les conquêtes franques d’Auvergne, Limousin, Languedoc, Aquitaine, Provence, Dauphiné, Béarn (soumission votée par un Parlement), Vaucluse (soumission votée par les jurats), Nice (1860). Occitània vit anormalement en temps de soumission.

20111009

National-expansionnisme linguistique appliqué : la FCPE Landouge, en Limousin

Re = pouvoir (latin classique)

Public = au peuple (latin classique)

Laïcos = ce qui appartient au peuple (grec ancien)

région = espace de pouvoir – la décentralisation est un régionalisme – l’autonomisme n’est pas un régionalisme. Encore une fois, l’occitanisme n’est pas un régionalisme.

Après ces quelques mots, partons au coeur du sujet, avec une question.

Quelle est cette école qui n’enseigne pas dans la langue du peuple de Limousin ? L’école républicaine française, celle fabriqué par la IIIième république et qui trompe le peuple du Limousin depuis deux siècles.

Calandreta LePopulaire 021011 (1)

S’il y a bien des écoles qui sont laïques (sens grec du terme) et appartenant au peuple (soumis) en Limousin, il faut bien noter que c’est Calandreta : malheureusement par nettoyage ethnique républicain français, ce type d’école n’existe qu’à un exemplaire à Limoges, merci à Jules Ferry, et aux expressions modernes du nationalisme armé français (le français n’est pas un don républicain, c’était un besoin de la hiérarchie de l’armée française pour gagner les guerres, ça n’a jamais marché, c’est un peu comme le porte-avion Charles-De-Gaulle) ; de plus, ce genre d’écoles fabrique des monothéistes linguistiques, et des absurdités dans l’enseignement des langues, avec l’accord des syndicats de professeurs et des administrations républicaines françaises, et malheureusement le soutien de certains nationalistes d’expansion parisienne en Limousin, des citoyens bien normés.

Il est regrettable que la seule chose que nos élus limousins puissent proposer à ces racistes ontologiques et républicains, soit le système de gestion des Afrikaners, avant l’abolition, et l’arrivée de la démocratie et du plurilinguisme en Afrique du Sud, c’est à dire la séparation, apartheid in Afrikaan.

On pourrait aussi, par compassion, expliquer que cette population de racistes républicains en Limousins soit mal formée ; or, il semble que le Limousin ait été terre d’accueil et surtout qu’il votasse majoritairement à gauche, qu’il résistât aussi à plusieurs reprises dont lors du passage des conscrits de la future guerre d’Algérie, qu’il résistèrent contre l’inauguration d’un monument au mort a Genciòus. Ce qui prouve au moins que la façon dont la gauche française s’exprime à une propension grande d’exprimer le même nationalisme que le député républicain et gaulliste, M.Dupont Aignan, ce matin à 00:33 sur France 2 : «qu’ils apprennent le français !». en réponse à une question sur les «langues régionales».

Il est à noter que les dites écoles républicaines et laïques sont incapables de faire apprendre de façon systématique les langues ; au contraire, Calandreta propose une façon européenne d’enseigner, façon qui favorise le trilinguisme à la sortie des écoles, c’est à dire après le cours moyen. Ce qui fait qu’en sixième, dans les zones ou il n’y a pas de collège Calandreta (quasiment partout), les élèves de Calandreta sont inadaptés au système français, système qui nettoie les langues de France et qui handicape toute la population pour apprendre des langues européennes, c’est à dire celles qui ne sont pas sur le territoire de soumission républicain française, et considérées comme étrangères aussi bien que les langues de France, qui, souvent, existaient et étaient langue de culture et de savoir bien avant la langue du roi, celle de la république et celle de ces racistes limousins de la FCPE.

Le document du Populaire est du 2 octobre, j’écris ces lignes maintenant, une semaine après, car en Limousin la discrétion politique est la règle et particulièrement du côté des occitanistes. Il est cependant dommage que cette affaire restasse en Limousin : pourquoi ?

Quand il se développe des argumentations de ce type, il est urgent de prévenir la Halde ; c’est du racisme. La Halde vous indiquera alors qu’elle ne sert à rien, car elle n’a pas de loi pour appliquer contre ce genre de racisme républicain français. C’est alors que l’on fera apparaître le besoin d’une loi, pour que le système français, raciste et ontologiquement programmé pour détruire la diversité linguistique, puisse se mettre aux normes européennes. Donc, garder une information en Limousin, sous prétexte d’erreur de compréhension qu’il faut régler entre soi, c’est pas la bonne solution. C’est la solution limousine de toujours, ne demandez pas aux Occitans du Sud de penser à vous, si quand vous avez ce genre de problème républicain français vous ne pensez pas le faire savoir !

Calabndreta Lemosina L'Écho Lemòtges 021011

C’est exactement ce qu’essaye d’expliquer l’article du journal de gauche L’Écho du Centre : il faut sauver cette gauche qui ne comprend rien à la diversité, et qui exprime un nationalisme étroit et conservateur. Contre ceci, il n’y a qu’une seule solution : crever le bouton noir, et le mal sera à nettoyer avec un antiseptique fort en urgence (une manifestation contre le racisme linguistique français par exemple), la démocratie ne s’en portera que mieux en Limousin.

Per clavar e far simple, las «Écoles républicaines et laïques» son d’escòlas del nacionalisme d’expansion francesa (la resulta son parents de la FCPE a Landoge Lemòtges – e malgrat totas las «bonas paraulas» de OC-BI e FELCO, e de la SGEN-CFDT o FSU-, e al contrari, e confirmat per las enquèstas lingüisticas d’Aquitània e Miègdia-Pirinèus, l’occitan e Calandreta son signes d’obertura, de sabers europèus (es pietat que fosquèsse per una elita de chançoses, mas es pas la fauta dels parents de calandreta). Justament, per verificar que Lemosin fosquèsse pas la meteissa resulta, perqué i auriá pas una enquèsta lingüistica en Lemosin ?